À l’ombre du calvaire,
elle ouvre son âme aux éléments qui la baignent.
Face à elle,
la plaine se traîne
de sillons en tapis de verdure.
Les arbres offrent au vent leurs branches
déjà nues
d’un automne trop tôt asservi.
Le silence,
ponctué de grillons et de violentes rafales,
apporte un moment de répit .
Elle respire.
Ysatis
Octobre 2017
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